La fin d'une vie !
Un avion, un bateau, une usine . . .
C'est d'une tristesse sans nom.
Je n'ai jamais entendu JEAN-MARIE parler de cet épisode.
Il a eu deux épouses, deux enfants et un bateau . . .
C'est avec le bateau qu'il a passé le plus de temps.
C'est le propre des "décalés", il les a tous appréciés, tous aimés,
mais il est difficile de comprendre comment un bateau peut finir par avoir une âme et venir à se mêler aux sentiments que généralement on porte aux humains !
Quatre pour ses enfants, trois pour son épouse et une pour le bateau.
Je pensais aux larmes.
Seules les joues savent vous dire combien elles pèsent, et le coeur combien elles abîment.