Année 1943
Naissance de Christine Ollivier, le 18 Février 1943 à Pau. (Voir à 1943jm)
"Naissance" de Maïky (1943-2000), Marie-Christiane Bornard, le 20 Février
1943 à Tarbes. Les papiers semblent attester qu'elle a été adoptée.
Les deux (Christine et Maiky) font la paire, comme on peut voir.
Naissance de François Fougère le 11 Novembre 1943.
Maïky est la fille de Albert Maurice Bornard, né le 1er Août 1893
à Paris (9ème) et décédé à Jurançon (n°26) à 1h le 12 Mai 1977,
à 84 ans. C’était le fils de Maurice Auguste Bornard et de Marie
Virginie Royet, parisiens. Maïky est le n° 127. Son père a 50 ans
et sa mère 46 ans, ce qui plaide pour une adoption. Mais alors d’où
vient cette catastrophe ambulante ? Encore heureux qu’elle n’ait
pas eu de descendants.
Sa mère Louise Augustine Mader est née le 18 Novembre 1897 à Paris
(XVIIème) et morte à Pau le 15 Mars 1984 (n° 329), à 87 ans. Fille
de Jean Antoine Edmond Mader et Jeanne Marguerite Marie Billaux.
Maïky a été mariée deux fois à Robert Ollivier, avec un divorce entre
les deux mariages :
- 1er mariage : le 4 Octobre 1967 à Cannes, peu de temps après
le divorce entre Robert Ollivier et Marie-Thérèse Cabanne mariés
29 ans depuis Novembre 1938.
- Divorce le ?
- 2nd mariage : le 19 Février 1983 à Pau.
Inutile de dire que les enfants du citoyen Ollivier n’ont jamais
été informés des péripéties conjugales du couple en fuite.
Décédée en fanfare le 10 Juin 2000 dans l’incendie de son
appartement de la résidence Aspin I à Pau, où elle vivait seule
depuis le décès de son conjoint le 18 Septembre 1997, elle eut
droit néanmoins à des Funérailles religieuse le 20 Juin 2000 en
l’Eglise Sainte Thérèse à Pau. [Abbé Bence ?]. Marie Fougère, son
amie d’autrefois, y a assisté, ainsi que les Fayet, Durantou et
d’autres anciennes connaissances. Crémation ensuite des menus restes
de Maïky trouvés dans les ruines de l’appartement et dispersion des
cendres sans cérémonie par cet enflé de Pierre, qui commit cet acte
en suisse sans informer personne. Les dernières traces de cette
personne, qui se disait incomprise, disparurent dans le feuillage
de la haie végétale qui entoure la maison de son enface, Mont Vert.
Cet endroit est désormais hanté, et pas pour le meilleur.
La conclusion de tout ça est que ces égoïstes orgueilleux et narcissiques,
se sont, dans un esprit fautif permanent, coupés de toute relation
constructive et affective avec leurs proches. Tout le monde y aurait
gagné, surtout eux. Mais la Maïky frelatait tout ce qu’elle touchait
et Robert était d’une faiblesse et d’un égoïsme sans limite, un
personnage bloqué, avec une teinture paranoïaque pour ne pas
arranger les choses.