Une nouvelle théorie pour expliquer le réchauffement climatique
Le climat connaît une période de réchauffement c’est évident. Sinon les glaciers ne fondraient pas comme ils le font. Les autres phénomènes atmosphériques ne prouvent rien, ils ont existé de tout temps. Le Soleil est, selon les astrophysiciens, une étoile stable au rayonnement constant, sauf accès de mauvaise humeur de courte durée. Il est donc sorti des équations liées au réchauffement. Reste la molécule du diable évoquée pour la première fois par un écoastronome suédois, Bert Bolin. Le CO2, mais c’est bien sûr ! Ce ne peut être que lui… Sans autre preuve qu’une affirmation péremptoire s’affranchissant de toute critique. Sûr de son fait Bert Bolin fut à l’origine de la création en 1988, au sein de l’ONU, du GIEC ou Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, traduction fallacieuse de la dénomination anglaise IPCC, Intergovernmental Panel on Climate Change, dans lequel le mot expert n’apparaît pas. Le GIEC affirme mais ne démontre rien. Dans l’état actuel des choses il se garde bien de fournir les équations qui prouveraient par des chiffres la contribution du CO2 au réchauffement de l’atmosphère. Avec 0,03% des gaz atmosphériques sa participation est quasi-nulle (quelques centièmes de degrés selon mes calculs, quelques millièmes selon des scientifiques de haut niveau). Il faut donc chercher une autre cause. Dans toutes les spéculations vaseuses évoquées jusqu’à présent par les soi-disant experts, la Terre fait le dos rond comme le chat qui vient de voler le steak du maître mais jure en ronronnant qu’il n’a rien fait ! Le Terre est oubliée, un comble ! Un peu de géologie s’impose. Sous ses apparences tranquilles, chère aux écolos, de planète bleue idéale, elle cache en ses entrailles un «feu» d’enfer qu’une mince croûte sépare de la surface, croûte encore plus mince au fond des océans. Un tel système thermique, responsable de la dérive des continents, des séismes et des volcans etc. n’obéirait-il pas à des variations cycliques à l’instar du soleil (11 ans) dont le rythme nous échappe, n’ayant jamais été envisagé. Une sorte de respiration thermique de la Terre à l’échelle des millénaires, voire des millions d’années. Allez savoir. Environ 1500 volcans sont en activité sur la surface émergée des continents. Thermiquement ils n’apportent pas grand chose hormis une proportion non négligeable des 0,03% totaux de CO2 dans l’atmosphère, ainsi que d’autres gaz et poussières ayant plutôt tendance à refroidir la dite atmosphère. Mais quid au fond des océans ? De mémoire je chiffrais à quelques centaines le nombre de volcans océaniques. Mais en allant vérifier quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur une estimation récente de la NASA qui porte à 1.500.000 le nombre de volcans sous-marins, mille fois plus que les volcans de surface. A ce niveau ça change tout. Le plancher océanique est donc une véritable passoire énergétique qui permet à la chaleur de la Terre de diffuser vers la surface, en l’occurrence dans l’eau des océans. Or il a été constaté une augmentation régulière de la température des océans. Conséquence : la teneur de l’atmosphère
en vapeur d’eau augmente elle aussi selon la loi classique des équilibres liquide-vapeur en fonction de la température. Étant données les propriétés spectroscopiques de la vapeur d’eau, bien connue des spécialistes de l’infra-rouge, c’est un gaz qui induit un puissant effet de serre. Il est présent sur Terre depuis l’apparition de l’eau sur cette dernière et lui a conféré un climat tempéré. A teneur égale l’effet de serre de la vapeur d’eau est beaucoup plus puissant que celui du CO2. La teneur en CO2 de la troposphère est en outre beaucoup plus faible que la teneur en vapeur d’eau (300 ppm contre 12000 ppm). On voit que la contribution du CO2 est négligeable.
Mais me direz-vous où passent donc les torrents de ce gaz expédiés à jet continu dans l’atmosphère par les humains, les feux de forêt, les volcans ?Tout d’abord pas de panique. Le « stock » de CO2 atmosphérique, de l’ordre de 3000 milliards de tonne - qui correspond aux 300 ppm - ne s’accroît que de 1 à 2 ppm par an. On est presque à l’équilibre entre les émissions et les consommations de ce gaz béni, que l’on peut considérer comme le premier maillon de la chaîne alimentaire. Sans lui pas de vie autre que celle des bactéries anaérobies.
In fine chaque atome de carbone de notre corps est passé par l’étape CO2. Idem pour l’immense majorité des êtres vivants de cette Terre. Et enfin quelques mots pour enterrer les inepties du GIEC, dictées par son idéologie mortifère et arriérée. Ce dernier ne tient aucun compte dans ses élucubrations de l’effet gaz de serre de la vapeur d’eau. Et pourtant le climat se réchauffe a cause de ce gaz, conséquence directe des humeurs de la Terre. NB Les recherches de la NASA concernant les volcans sous-marins ont peut-être été dictées par des considérations voisines des miennes. Il faut bien que les grands esprits se rencontrent parfois.