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06-SEP-2003 jmo

6 sept 2003, Jennie en montant au Pic Sarrailhé

Chronologie des rencontres avec Jennie
Source : Livres Noirs (LN)

Jeudi 17 Mai 2001 (LN 16, p. 196)
…Je suis en train de travailler dans mon bureau au
Centre de Recherches de Lacq lorsque je reçois un coup
de fil de Christine qui m’annonce que la petite fille
[arrière-petite-fille en fait] de l’oncle Paul, «
disparu » en Angleterre il y a 100 ans, recherche sa
famille dans le SW. Elle a 37 ans, et vient dans la
région la première semaine de Juin. Stupéfaction.

Vendredi 18 Mai 2001 (LN 16, p. 197)
…J’appelle Loulou, qui me fournit des renseignements
sur la « cousine » Jennifer (alias Jennie) Sarrailhé.
Elle me confirme qu’elle a 37 ans, qu’elle vit à
Lyon, fait de la rando. Elle vient à Argelès pour
se promener.[avec un club]. Loulou me donne son
n° de téléphone et son adresse. Je laisse un message
et expédie un mot. C’est le top de la journée.

Samedi 9 Juin 2001 (LN 16, p. 210)
Julie est arrivée hier avec son énorme livre généalogique
sur les BOSTON, 25000 personnes !
Aujourd’hui c’est le jour. Après quelques coups de fil,
en route pour Argelès. Un peu en retard, mais faisons
connaissance avec « la » cousine Jenny (Jennie) qui nous
attend dans un café, en face de l’hôtel Le Puits Fleuri,
près de la gare. Allure sportive, et pas si petite que cela.
Nous prenons un café sur place et commençons à parler… Drôle
de rencontre. Nous allons ensuite en ville. Jennie connaît.
Nous passons un long moment dans une pizzeria. Avec les
documents. On finit par se faire chasser. Pluie. On achète
un Jurançon spécial pour le goûter.
Nous arrivons bien à l’heure chez tante Hélène [rue Gensemin
à Pau] et avons le temps de tout nous dire. Marie-Christine est
là avec Mimi (sa conjointe). Pas de Loulou ni de Christine
à l’horizon. Bien.
Puis gare de Pau, train de Genève. Jennie est du genre
ponctuelle. Elle a vécu 30 ans en Australie, et vit en France depuis 7 ans.


Vendredi 10 Août 2001 (LN 16, p. 245)
Départ de Pontmain [Lieu d’apparitions] en Mayenne,
et matinée prolongée à Laval, aux Archives. Grosse récolte
mais rien d’essentiel.
Nous quittons l’hôtel (oreillers envoyés par la fenêtre
!) et Laval pour Niort, puis Maillé [où Jennie et ses parents,
venus d’Australie en vacances ont loué un gite]. Nous faisons
connaissance avec ses parents et passons une soirée sympa.
Nous dormons, Julie et moi, sur le sol du premier étage du gite.
[Notre départ pour Les Eyzies est prévu pour demain].

Mercredi 16 Janvier 2002 (LN 17, p. 41)
Je reçois une lettre de Jennie Sarrailhé qui m’annonce
son retour en Australie. Ça me fait drôle, je m’étais déjà
fait à l’idée d’une nouvelle cousine sur le sol français.
Elle ne sait que faire de son chat [Thérèse].
J’ai toujours mal au dos, et ça m’énerve. [Ce mal de dos
chronique et très douloureux a duré longtemps].

Samedi 16 Février 2002 (LN 17, p. 63) – Arrivée de Jennie
et Thérèse à Lahourcade
Julie est arrivée de Paris hier soir à 22h30. Nous nous
levons tôt pour attendre le train de Jennie, un train
immense. Jennie arrive avec Thérèse le chat et toutes sortes
d’affaires qui vont avec. Tout un poème. En plus le chat
est curieux et explore la maison. Grimpe dans le placard à
vaisselle et brise tout un lot de ranekins en verre, ainsi
que le couvercle des Teddies (tétards)… ! … Et se méfie de moi.
N’a pas l’air d’avoir bon caractère.
Petite sieste avant le repas « de midi », puis petite sieste
après, avant d’aller explorer Lacommande, cette ancienne
commanderie (gérée par une infâme pétasse, bien que jeune,
intéresse Jennie car elle pourrait avoir un lien avec certains
Sarrailhé d’autrefois au travers de propriétés qu’ils auraient
possédées par là aux environs de 1841. Elle ne trouve rien.
Jennie est intéressée par les stèles funéraires discoïdales du
cimetière du XVIIème.
Nous passons ensuite à Décathlon, à la recherche de cartes.
Bon petit repas du soir avec la ratatouille de Julie, et le
foie gras et le von blanc de Jennie.
Jennie s’est couchée tôt… avec son chat (chambre W). Je ne
le sens pas ce chat… [Cela s’est confirmé !! Puis tout s’est
apaisé. Thérèse devint le plus adorable des chats.]

Dimanche 17 Février 2002 (LN 17, p. 63)
Jennie se réveille la première. Julie et moi traînons jusqu’à
10h ! Mais le temps est très grisailloux, crafouilleux, bruinasseux,
froid. Seules les mésanges et un rossignol du Japon s’en donnent
à cœur joie, au grand intérêt de Thérèse le chat, qui aimerait bien les attraper.
Cette Thérèse elle ne m’aime pas, et la façon dont elle me
regarde depuis le fauteuil, pendant que j’écris ces lignes, en dit
long sur ses sentiments. Par faiblesse je la laisse dormir dans
le séjour. Si elle fait des pbs, gare !
Quelques photos d’oiseau sur la fenêtre. Repas de midi. Julie prend
ensuite le train à Artix.
Jennie me propose d’aller explorer les côteaux de Jurançon afin
qu’elle me montre ce qu’elle a découvert en vélo. Je choisis la route
qui passe par Laroin et la vallée de Las His, qui me paraît beaucoup
plus grande et longue qu’à l’époque où je la parcourais en voiture pour
aller au boulot à Lacq, ou en vélo en soirée pour m’entraîner. Nous
arrivons à Gan et partons à la recherche d’un vin de Jurançon « Clos
Sarrailhé », suite à une idée de Jennie. Nous visitons une Coop, puis
rentrons dans un magasin qui dit que si ça existe c’est vendu directement
dans un supermarché. Nous ne trouvons donc rien.
Nous reprenons la route vers Pau et je monte sur les côteaux par
une petite route directe face à la Fromagerie des Chaumes, sur les
indications de Jennie.
Ces côteaux de Jurançons font remonter dans ma mémoire des épisodes
de ma vie d’avant, de mes vies d’avant, comme des pierres milliaires
de vies qui semblent distinctes les unes des autres. Voyons donc.La Saga
de coteaux de Jurançon
Pic Sarrailhé
Samedi 6 Septembre 2003 (LN 18, p. 99) – Retour de Jennie et ascension
du Pic Sarrailhé.
Julie est arrivée her soir à Orthez à 22h45, avec un train une nouvelle
fois en retard. Elle me fait cadeau d’un porte-laptop.
Ce matin samedi nous allons chercher Jennie à Orthez à 9h01. Elle arrive
des derniers wagons, du fin fond de la campagne. Café, puis déjeuner sur
la terrasse. Le temps passe vite. Nous partons pour le col de Lourdios.
De là nous montons au Pic Sarrailhé [mon père s’en est étouffé et l’a
nommé pic de Lourdios – quoi ? des Sarrailhé ici ? On aura tout vu !],
que le brouillard encapuchonne. J’ai de drôles de sensations, sans être
fatigué semble-t-il. Léger malaise vagual ? C’est indéfini, pas d’organe
particulier concerné. De son côté Jennie souffle un peu. Mais après sa
nuit de train elle a bien du courage.
Nous tentons quelques photos au sommet malgré le brouillard. Descente
plan plan et au passage photographies de toiles d’araignées. Soirée cool,
repas sur la terrasse, foie gras arrosé de Jurançon Ganadé. Nous parlons
de l’Australie, des arborigènes…

Dimanche 7 Septembre 2003 (LN 18, p. 99)
La grasse matinée est interrompue par un orage et des trombes d’eau.
Nous restons à la maison. Le repas est préparé par Julie. Elle prend
ensuite le train à Artix où je l’accompagne. Au retour je passe par Monein
et tente une petite sieste dans la voiture. Pendant ce temps Jennie fait
la sienne à la maison.
Nous prenons en suite le thé et allons à Artix voir les oiseaux [?], puis
sur la colline admirer les montagnes. Après le repas, recherches dans les
livres pour identifier les oiseaux. Visite à Mars ? Fil à Julie dont le
train a pris du retard. Mon internet est vide ?

Lundi 8 Septembre 2003 - (LN 18, p. 100)
P’tit déj’, bain et en route pour Monein, à la Confrérie du Jurançon,
malheureusement fermée. Puis retour à Lacommande où nous sommes reçus cette
fois par une excellente Vanessa, qui se met en quatre pour Jennie. Rien à
voir avec la trouillasse de la dernière fois. J’achète de bonnes bouteilles.
Nous allons ensuite à Billère, chez les Duaso. Nous prenons l’apéritif
avec Evelyne, Jacques, Nathalie la petite fille, fille de Dominique Duaso
et Loulou. Photos.
L’après-midi c’est la bulle, faut récupérer de ces invitations fatigantes !
Photos. Fil de Julie et Anne (celle qui a de la gueule, futur Ilheu ?) depuis
Paris. Julie rappelle dans la soirée. Partie d’échecs avec l’ordinateur,
que je bats, puis sur internet où je me fais battre.

Mardi 9 Septembre 2003 – Jennie repart à Lyon par le train. (LN 18, p. 100 )
Compil de mon petit carnet vélo de 1956 où je constate que j’étais
déjà passé à Lahourcade cette année-là. A croire que la vie ressemble
à une cage d’écureuil.

Vendredi 30 Septembre 2005 (LN 19, p. 286) – Arrivée de Jennie et Julie.
A 22h30 je récupère Julie et Jennie à la gare d’Orthez. Petite
collation. Une étoile nous intrigue au SE. Un logiciel nous informe
que c’est la planète Mars.

Samedi 1er Octobre 2005 (LN 19, p. 286)
Dodo jusqu’à 11h passées ! P’tit déj’ sur la terrasse. Puis le temps
se gâte. Et moi je ne vais pas bien. Laryngite. Sieste à 18h pendant
que Julie et Jennie vont se promener.

Dimanche 2 Octobre 2005 (LN 19, p. 287)
Giboulées. Lorsque je me lève les deux filles sont parties, l’une
faire un galop d’une heure et demie et l’autre d’une marche d’une heure
et quart. J’ai donc le temps d’émerger, péniblement. Terrifiante cette
laryngite. Si je tousse, je m’étouffe ! Quelques coups de fil de droite
et de gauche, un déjeuner qui dure interminablement. Le temps n’est plus
aux découvertes vibrantes. La routine s’installe. Dehors giboulées, pluie
et soleil. Ebay. Sieste à 5h1/2 !
Nous filons ensuite chez Marie-Christine. On peut voir les photos sur
l’écran de la télé. L’atmosphère se dégèle petit à petit. Je pousse à ne
pas trop traîner. Départ en fanfare sur la route d’où nous voyons la
maison éclairée et Marie-Christine qui fait des gestes d’au-revoir.
Légumes au repas du soir.Mail d’Aubert, qui est allé aux Cornes de
Mondeils… sans appareil photo ! J’essaie de convaincre Jennie et Julie
de regarder un film sur Landru. Elles acceptent de mauvaise grâce… et
nous ne regardons pas le film entièrement ! Ne pluqs se sentir pleinement
chez soi finit par énerver. Et les estimes réciproques s’émoussent…

Olympus C-2100UZ
1/400s f/3.2 at 7.0mm iso100 hide exif
Full EXIF Info
Date/Time06-Sep-2003 16:29:33
MakeOlympus
ModelC2100UZ
Flash UsedNo
Focal Length7 mm
Exposure Time1/400 sec
Aperturef/3.2
ISO Equivalent100
Exposure Bias-0.30
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