i smiled when i saw those chairs
bathing in the sun
of a quiet train station
mixing their shadows

How original i thought...
and i smiled again.
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Sur une autre note...

Alain Bashung n'est plus.
Ça fait mal à notre identité
Quand un phare s'éteint
Ça nous rappelle à l'ordre,
à l'éphémérité de notre existence
à l'éphémérité de tout ce qui est
On ne l'oubliera pas
mais
dans quelques souffles
on y pensera plus
Un interminable cycle du "recommencement"
dont nous faisons tous inconsciemment parti
C'est lorsqu'on en prends conscience
qu'il y a la douleur de l'impuissance
face à l'inévitable qui change
mais qui est toujours le même, ultimement.
On se réchauffe dans le souvenir et on dit merci.
Salut Alain