Ce qu'avaient compris de hauts responsables politiques
à propos du réchauffement climatique (un festival de perles) :
Sarkozy 23 septembre 2009, entretien télévisé
A l’époque Président de la République
« Des scientifiques et des savants du monde entier se
sont réunis des mois pour dresser un constat : le monde
court à sa perte si on continue à émettre du carbone qui
crée un trou dans la couche d’ozone et qui brise les
équilibres de la planète.» [Il a tout compris !].

Michel Rocard France Info 28 juillet 2009
(A l’époque ambassadeur de la France chargé des
relations internationales relatives aux pôles arctique et antarctique)
« Le principe, c’est que la Terre est protégée des
radiations excessives du Soleil par l’effet de serre,
c’est à dire une espèce de protection nuageuse, enfin
protection gazeuse qui, dans l’atmosphère, est relativement
opaque aux rayons du soleil. Et quand nous émettons du
gaz carbonique ou du méthane, ou du protoxyde d’azote,
un truc qu’il y a dans les engrais agricoles, on attaque
ces gaz, on diminue la protection de l’effet de serre et
la planète se transforme lentement en poêle à frire.
Le résultat serait que les arrière-petits-enfants de nos
arrière-petits-enfants ne pourront plus vivre. La vie
s’éteindra à sept, huit générations, c’est complètement
terrifiant. » [Il a tout compris lui aussi !].


Le soleil tape dur en ce moment. Il est féroce.

Eh ben non, il n’y est pour rien (on croirait entendre
Greta Thunberg). C’est pas lui, c’est le CO2.
Le CO2 fabriqué par les hommes (les femmes
seraient bien incapables d’une telle ignominie). Donc
il faut punir les hommes et leur prendre plein d’argent
pour leur apprendre à vivre. Bien fait !
Comme ça la planète va pouvoir enfin se refroidir, grâce
aux sacrifices expiatoires imposés à cette humanité
pécheresse avide de repentance et d’auto-flagellation.
Et ce con de soleil qui n’y comprend rien, et de toutes
façons s’en moque, va continuer à cuire de plus belle
ces pauvres hommes crédules (hors le dieu giec point
de salut) qui s’imaginent pouvoir maîtriser les aléas de
la nature et se croient seuls maîtres à bord.