Réquisitionné en 1940 par l’Occupation allemande pour y installer ses services du renseignement et du contre-espionnage, l’hôtel devint à La Libération, sur ordre du Général de Gaulle, le lieu d’accueil des survivants des camps de concentration, achevant ainsi de l’inscrire dans la mémoire collective des Français de l’après-guerre.