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LA MIGRAINE EXPLIQUÉE +

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Les informations dans MÉDICAL BLOG on étés recueillies :
sur le net dans WikipédiA, dans Polycopiés de Santé - U.C.B.L.
( élaboré par les enseignants de neurologie et neurologues hospitaliers du CHU de Lyon),
de collègues et de mes expériences et recherches personnelles.

La migraine : Un cerveau en détresse ( Par Michel Aubé, M.D. neurologue )
Hippocrate fut le premier à décrire l’aura migraineuse et, en l’an 200,
Galien introduit le terme « migraine » dont les critères diagnostiques modernes
ne seront définis qu’en 1988 par consensus international. Hippocrate attribuera la migraine
à des humeurs nocives émanant du foie et remontant vers le cerveau.
Cette conception persistera pendant 1 500 ans jusqu’au moment où, au XVIIe siècle,
Willis l’attribue à un gonflement des vaisseaux crâniens.
Cette conception prédominera jusqu’à la fin du XXe siècle alors que la recherche permet
de démontrer sans équivoque l’origine cérébrale de la migraine.

Michel Aubé, M.D. (Montréal), FRCP(C), neurologue, professeur à l’Institut neurologique de Montréal ;
Michel Aubé et Jacques Beaulieu, auteur de: La migraine - un cerveau en détresse / Montréal, Éditions Publistar, 2004.
---------------*--------------


LA MIGRAINE ME LAISSE 100 MAUX . . .Définition de ce qu’est la santé par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé)
L’OMS définit la santé comme un état de bien être physique, mental et social total
et non simplement comme une absence de maladie ou d'infirmité.
Les personnes atteintes de MIGRAINE CHRONIQUE, de AVF et autre nécessité n'ont plus accès à ce bien être physique, mental et social tel que défini précédemment.
BONNE CHANCE !

Les personnes atteintes de MIGRAINE CHRONIQUE n'ont plus accès à une vie dites normale compte tenu des douleurs et contraintes qu'elle impose.
Chez certain migraineux s'ajoute à cela, l’algie vasculaire facial, et là leur compte est bon.

L'algie vasculaire de la face AVF (Céphalée de Horton / Cluster Headache), tout comme la migraine, est une forme aiguë de céphalée. 
Il s'agit d'une affection rare, extrêmement douloureuse et invalidante pour celui qui en souffre.

La médecine estime qu'il s'agit de l'une des douleurs les plus intenses et qu'elle dépasse celle d'une amputation sans anesthésie.
On comprend alors qu'entre chaque crise, la moindre céphalée ou migraine peut devenir angoissante et faire craindre le pire.

Plus d'info page suivante...

Liens : Sur la vidéo qui suit, la scène peut vous semblée théâtrale mais détrompez-vous, c'est la triste et souffrante réalité. 
Les lamentations et gémissements sont réactionnels et incontrôlables je peu vous l'affirmer :  http://www.youtube.com/watch?v=3IQ6s1no3Qg
((( QULIQUEZ ICI ))) MIGRAINE EN IMAGE / LE SCOTOME SCINTILLANT
LA MIGRAINE ME LAISSE 100 MAUX . . .

Définition de ce qu’est la santé par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé)
L’OMS définit la santé comme un état de bien être physique, mental et social total
et non simplement comme une absence de maladie ou d'infirmité.


Les personnes atteintes de MIGRAINE CHRONIQUE, de AVF et autre nécessité n'ont plus accès à ce bien être physique, mental et social tel que défini précédemment.

BONNE CHANCE !



Les personnes atteintes de MIGRAINE CHRONIQUE n'ont plus accès à une vie dites "normale" compte tenu des douleurs et contraintes qu'elle impose.
Chez certain migraineux s'ajoute à cela, l’algie vasculaire facial, et là leur compte est bon.

L'algie vasculaire de la face "AVF" (Céphalée de Horton / Cluster Headache), tout comme la migraine, est une forme aiguë de céphalée.
Il s'agit d'une affection rare, extrêmement douloureuse et invalidante pour celui qui en souffre.

La médecine estime qu'il s'agit de l'une des douleurs les plus intenses et qu'elle dépasse celle d'une amputation sans anesthésie.
On comprend alors qu'entre chaque crise, la moindre céphalée ou migraine peut devenir angoissante et faire craindre le pire.

Plus d'info page suivante...

Liens : Sur la vidéo qui suit, la scène peut vous semblée théâtrale mais détrompez-vous, c'est la triste et souffrante réalité.
Les lamentations et gémissements sont réactionnels et incontrôlables je peu vous l'affirmer : http://www.youtube.com/watch?v=3IQ6s1no3Qg
MIGRAINE CLASSIQUE / ATYPIQUE / AVORTÉE / ET L'ALGIE VASCULAIRE FACIAL

La migraine classique elle, ou migraine accompagnée est une migraine avec aura (symptômes précurseurs aussi appelé prodrome).

Les prodromes consistent en des anomalies visuels et/ou sensoriels. Les auras font partie d'un complexe de symptômes neurologiques réversibles évoluant graduellement
entre 3 à 60 minutes avant la crise migraineuse. Ils sont variés et se présenter sous divers aspects tel que :
Hallucination visuelle (scotome scintillant), hallucination olfactive (parosmie), voir même tactile, diplopie binoculaire transitoire (vision double),
D'autres symptômes sensoriels rencontrés sont des picotements ou des engourdissements, des sensations de brûlement intense sur la peau effleurée dans un secteur donné
et qui peut varier d'une crise à l'autre (paresthésies neuropathique multifocale migratoire), parfois de la difficulté d’élocution (dysarthrie) et de la difficulté à
choisir ses mots et à les combiner pour construire des phrases (aphasie).

Les symptômes visuel observé sont la diplopie et, le plus fréquemment rapporté, le scotome scintillant appelé spectre de fortification
(lacet lumineux en forme de G aux lueurs oscillantes et
frétillante dans le champ visuel) et est causé par un dysfonctionnement des neurones du lobe occipital (centre de la vision).
Ce symptôme visuel hémionopsique paresthésique envahit, d'une façon plus lente qu’une crise d’épilepsie sensitive, jusqu'à la moitié du champ visuel de chaque œil ou
de tout le champ et abouti à une cécité partielle ou globale temporaire d’une duré de 3 à 20 minutes, parfois même une heure, et est aussi suivit d’une aphasie
plus ou moins importante. Ces troubles visuels s’accompagnent souvent de nausées et vomissements.

L'hallucination olfactive (parosmie) consiste en la perception d'une odeur intense qui n'est pas réellement présente (le sujet seul la perçoit).
La diplopie binoculaire transitoire pré-migraineuse provoque pendant quelques secondes et à quelques reprises une vision décalée image double.

Suite à ces manifestations, c’est alors que survient la douleur intense et pulsative souvent accompagnée de plusieurs des symptômes pré cités et qui persisteront
tout au long de la crise. Tous ces symptômes, bien que transitoires, n'en sont pas moins contraignants pour autant.

Les symptômes visuel observé sont la diplopie et, le plus fréquemment rapporté, le scotome scintillant appelé spectre de fortification (lacet lumineux en forme de C aux lueurs oscillantes et
frétillante dans le champ visuel) et est causé par un dysfonctionnement des neurones du lobe occipital (centre de la vision).
Ce symptôme visuel hémionopsique paresthésique envahit, d'une façon plus lente qu’une crise d’épilepsie sensitive, jusqu'à la moitié du champ visuel de chaque œil ou
de tout le champ et abouti à une cécité partielle ou globale temporaire d’une duré de 3 à 20 minutes, parfois même une heure, et est aussi suivit d’une aphasie
plus ou moins importante. Ces troubles visuels s’accompagnent souvent de nausées et vomissements.
Les prodromes consistent en des anomalies visuels et/ou sensoriels. Les auras font partie d'un complexe de symptômes neurologiques réversibles évoluant graduellement
entre 3 à 60 minutes avant la crise migraineuse. Ils sont variés et se présenter sous divers aspects tel que :
Hallucination visuelle (scotome scintillant), hallucination olfactive (parosmie), voir même tactile, diplopie binoculaire transitoire (vision double),
D'autres symptômes sensoriels rencontrés sont des picotements ou des engourdissements, des sensations de brûlement intense sur la peau effleurée dans un secteur donné
et qui peut varier d'une crise à l'autre (paresthésies neuropathique multifocale migratoire), parfois de la difficulté d’élocution (dysarthrie) et de la difficulté à
choisir ses mots et à les combiner pour construire des phrases (aphasie).

... SUITE...
Image d'une crise...
MIGRAINE CLASSIQUE / ATYPIQUE / AVORTÉE / ET L'ALGIE VASCULAIRE FACIAL

La migraine "classique" elle, ou "migraine accompagnée" est une migraine avec aura (symptômes précurseurs aussi appelé "prodrome").

Les prodromes consistent en des anomalies visuels et/ou sensoriels. Les auras font partie d'un complexe de symptômes neurologiques réversibles évoluant graduellement
entre 3 à 60 minutes avant la crise migraineuse. Ils sont variés et se présenter sous divers aspects tel que :
Hallucination visuelle (scotome scintillant), hallucination olfactive (parosmie), voir même tactile, diplopie binoculaire transitoire (vision double),
D'autres symptômes sensoriels rencontrés sont des picotements ou des engourdissements, des sensations de brûlement intense sur la peau effleurée dans un secteur donné
et qui peut varier d'une crise à l'autre (paresthésies neuropathique multifocale migratoire), parfois de la difficulté d’élocution (dysarthrie) et de la difficulté à
choisir ses mots et à les combiner pour construire des phrases (aphasie).

Les symptômes visuel observé sont la diplopie et, le plus fréquemment rapporté, le scotome scintillant appelé "spectre de fortification"
(lacet lumineux en forme de "G" aux lueurs oscillantes et
frétillante dans le champ visuel) et est causé par un dysfonctionnement des neurones du lobe occipital (centre de la vision).
Ce symptôme visuel hémionopsique paresthésique envahit, d'une façon plus lente qu’une crise d’épilepsie sensitive, jusqu'à la moitié du champ visuel de chaque œil ou
de tout le champ et abouti à une cécité partielle ou globale temporaire d’une duré de 3 à 20 minutes, parfois même une heure, et est aussi suivit d’une aphasie
plus ou moins importante. Ces troubles visuels s’accompagnent souvent de nausées et vomissements.

L'hallucination olfactive (parosmie) consiste en la perception d'une odeur intense qui n'est pas réellement présente (le sujet seul la perçoit).
La diplopie binoculaire transitoire pré-migraineuse provoque pendant quelques secondes et à quelques reprises une vision décalée "image double".

Suite à ces manifestations, c’est alors que survient la douleur intense et pulsative souvent accompagnée de plusieurs des symptômes pré cités et qui persisteront
tout au long de la crise. Tous ces symptômes, bien que transitoires, n'en sont pas moins contraignants pour autant.

Les symptômes visuel observé sont la diplopie et, le plus fréquemment rapporté, le scotome scintillant appelé "spectre de fortification" (lacet lumineux en forme de "C" aux lueurs oscillantes et
frétillante dans le champ visuel) et est causé par un dysfonctionnement des neurones du lobe occipital (centre de la vision).
Ce symptôme visuel hémionopsique paresthésique envahit, d'une façon plus lente qu’une crise d’épilepsie sensitive, jusqu'à la moitié du champ visuel de chaque œil ou
de tout le champ et abouti à une cécité partielle ou globale temporaire d’une duré de 3 à 20 minutes, parfois même une heure, et est aussi suivit d’une aphasie
plus ou moins importante. Ces troubles visuels s’accompagnent souvent de nausées et vomissements.
Les prodromes consistent en des anomalies visuels et/ou sensoriels. Les auras font partie d'un complexe de symptômes neurologiques réversibles évoluant graduellement
entre 3 à 60 minutes avant la crise migraineuse. Ils sont variés et se présenter sous divers aspects tel que :
Hallucination visuelle (scotome scintillant), hallucination olfactive (parosmie), voir même tactile, diplopie binoculaire transitoire (vision double),
D'autres symptômes sensoriels rencontrés sont des picotements ou des engourdissements, des sensations de brûlement intense sur la peau effleurée dans un secteur donné
et qui peut varier d'une crise à l'autre (paresthésies neuropathique multifocale migratoire), parfois de la difficulté d’élocution (dysarthrie) et de la difficulté à
choisir ses mots et à les combiner pour construire des phrases (aphasie).

... SUITE...
LES CÉPHALÉES : MIGRAINE CLASSIQUE / ATYPIQUE / AVORTÉE / ET L'ALGIE VASCULAIRE FACIAL
Longtemps perçue comme une excuse permettant toutes les dérobades sociales ou conjugales,
la migraine est aujourd’hui reconnue comme maladie par l’ensemble du corps médical. 
Cependant, trop de gens la perçoivent encore comme un gros mal de tête fabuleux teinté de somatisation.
Les personnes atteintes de MIGRAINE CHRONIQUE n'ont plus accès à une vie dites normale compte tenu des douleurs et contraintes qu'elle impose.
Chez certain migraineux s'ajoute à cela, l’algie vasculaire facial, et là leur compte est bon.
La migraine commune s'installe progressivement sous forme de pulsations qui s'étendent à la moitié droite ou gauche du crâne, qui envahit parfois les deux côtés. 
La douleur peut survenir n'importe quand, même pendant le sommeil. Nausées, vomissements, intolérance à la lumière, au bruit et aux odeurs intenses 
s'y associent presque toujours. En général, l'effort physique en intensifie les symptômes.
La migraine classique elle, ou migraine accompagnée est une migraine avec aura (symptômes précurseurs aussi appelé prodrome).
Les prodromes consistent en des anomalies visuels et/ou sensoriels. Les auras font partie d'un complexe de symptômes neurologiques réversibles évoluant graduellement 
entre 3 à 60 minutes avant la crise migraineuse. Ils sont variés et se présenter sous divers aspects tel que :
Hallucination visuelle (scotome scintillant), hallucination olfactive (parosmie), voir même tactile, diplopie binoculaire transitoire (vision double),
D'autres symptômes sensoriels rencontrés sont des picotements ou des engourdissements, des sensations de brûlement intense sur la peau effleurée dans un secteur donné 
et qui peut varier d'une crise à l'autre (paresthésies neuropathique multifocale migratoire), parfois de la difficulté d’élocution (dysarthrie) et de la difficulté à 
choisir ses mots et à les combiner pour construire des phrases (aphasie).

Les symptômes visuel observé sont la diplopie et, le plus fréquemment rapporté, le scotome scintillant appelé spectre de fortification 
(lacet lumineux en forme de G aux lueurs oscillantes et 
frétillante dans le champ visuel) et est causé par un dysfonctionnement des neurones du lobe occipital (centre de la vision). 
Ce symptôme visuel hémionopsique paresthésique envahit, d'une façon plus lente qu’une crise d’épilepsie sensitive, jusqu'à la moitié du champ visuel de chaque œil ou 
de tout le champ et abouti à une cécité partielle ou globale temporaire d’une duré de 3 à 20 minutes, parfois même une heure, et est aussi suivit d’une aphasie 
plus ou moins importante. Ces troubles visuels s’accompagnent souvent de nausées et vomissements. 

L'hallucination olfactive (parosmie) consiste en la perception d'une odeur intense qui n'est pas réellement présente (le sujet seul la perçoit). 
La diplopie binoculaire transitoire pré-migraineuse provoque pendant quelques secondes et à quelques reprises une vision décalée image double.

Suite à ces manifestations, c’est alors que survient la douleur intense et pulsative souvent accompagnée de plusieurs des symptômes pré cités et qui persisteront 
tout au long de la crise. Tous ces symptômes, bien que transitoires, n'en sont pas moins contraignants pour autant.
La durée des migraines varie de 2 heures à 72 heures en moyenne mais parfois elle peut se prolonger plusieurs jours, voir même des semaines et des mois. 
La fréquence des épisodes migraineux est, en général, tout aussi aléatoire qu’imprévisible compte tenu des antécédents familiaux, des traumatismes physiques ou 
mentaux et des conditions de vie personnelles de chacun.

N'oublions pas les Migraines Avortées ( Névralgies primaires ) qui surviennent en un éclair sans avertir, et dont la crise ne durent que quelques fractions de secondes
mais dont la violence est égale au Pic-à-glace de l'Algie Vasculaire Facial. / Référencé plus bas…


Wikipedia / Algie Vasculaire Faciale (AVF)
Résumé :

L'algie vasculaire de la face (AVF), tout comme la migraine, est une forme aiguë de céphalée. 
Il s'agit d'une affection rare, extrêmement douloureuse et invalidante pour celui qui en souffre. Elle se manifeste sur l'une des moitiés de la tête. 
Les Américains la surnomment cyniquement the Boss' Headache ( le mal de tête du patron ). Plus dramatiquement, on la surnomme « la céphalée suicidaire », 
tant la violence des attaques et leur fréquence rendent infernale la vie des personnes qui en sont atteintes, soit environ 0,2 % de la population.

La médecine estime qu'il s'agit de l'une des douleurs les plus intenses et qu'elle dépasse celle d'une amputation sans anesthésie. 
En l'occurrence, Peter Goadsby, professeur de neurologie clinique au Collège de l'université de Londres, un éminent chercheur, a commenté :

« L'algie vasculaire de la face est probablement la pire douleur que l'homme ait jamais connue. Je sais que c'est une remarque forte, 
mais si vous demandez à des patients souffrant d'AVF s'ils ont eu une expérience pire, ils disent tous qu'ils n'en ont pas eu. Les femmes souffrant d'AVF 
vous diront que l'attaque est encore pire qu'un accouchement. Vous pouvez donc imaginer que ces personnes donnent naissance, sans anesthésie, 
une ou deux fois par jour, pendant six, huit ou dix semaines, puis font une pause. C'est tout simplement terrible.
(On comprend alors qu'entre chaque crise, la moindre céphalée ou migraine peut devenir angoissante et faire craindre le pire.)

La première description complète des algies vasculaires de la face a été donnée par le neurologue londonien Wilfred Harris (it) en 1926. 
Il nomma la maladie « névralgie migraineuse ».

La comparaison avec d'autres maux de tête est limitée; toutefois les patients qui ont eu des migraines affirment que la douleur ressentie lors d'une AVF 
est nettement plus importante (avec une intensité perçue parfois cent fois plus grande). Une analogie est celle d'un pic à glace brûlant que l'on enfoncerait 
de manière répétée à travers l'œil et le cerveau, d'une déchirure ou d'un broiement. 
(Ma description : Imaginez que quelqu’un vous écrase la tempe de tout son poids avec son talon de soulier tandis qu’un autre tente d'introduire 
son pouce dans votre crâne en enfonçant votre œil, puis vient le gros pic à glace brûlant qui pénètre comme une flèche à la vitesse de l'éclair 
de par l'arrière de la tête jusqu'à l'œil tout en déchargeant des arcs électrique de manière répétée à travers le cerveau, l'œil, la tempe, 
la joue et parfois même les dents.)

BONNE CHANCE !LES CÉPHALÉES : MIGRAINE CLASSIQUE / ATYPIQUE / AVORTÉE / ET L'ALGIE VASCULAIRE FACIAL


Longtemps perçue comme une excuse permettant toutes les dérobades sociales ou conjugales,
la migraine est aujourd’hui reconnue comme maladie par l’ensemble du corps médical.
Cependant, trop de gens la perçoivent encore comme un gros mal de tête fabuleux teinté de somatisation.

Les personnes atteintes de MIGRAINE CHRONIQUE n'ont plus accès à une vie dites "normale" compte tenu des douleurs et contraintes qu'elle impose.

Chez certain migraineux s'ajoute à cela, l’algie vasculaire facial, et là leur compte est bon.

La migraine commune s'installe progressivement sous forme de pulsations qui s'étendent à la moitié droite ou gauche du crâne, qui envahit parfois les deux côtés.
La douleur peut survenir n'importe quand, même pendant le sommeil. Nausées, vomissements, intolérance à la lumière, au bruit et aux odeurs intenses
s'y associent presque toujours. En général, l'effort physique en intensifie les symptômes.

La migraine "classique" elle, ou "migraine accompagnée" est une migraine avec aura (symptômes précurseurs aussi appelé "prodrome").

Les prodromes consistent en des anomalies visuels et/ou sensoriels. Les auras font partie d'un complexe de symptômes neurologiques réversibles évoluant graduellement
entre 3 à 60 minutes avant la crise migraineuse. Ils sont variés et se présenter sous divers aspects tel que :
Hallucination visuelle (scotome scintillant), hallucination olfactive (parosmie), voir même tactile, diplopie binoculaire transitoire (vision double),
D'autres symptômes sensoriels rencontrés sont des picotements ou des engourdissements, des sensations de brûlement intense sur la peau effleurée dans un secteur donné
et qui peut varier d'une crise à l'autre (paresthésies neuropathique multifocale migratoire), parfois de la difficulté d’élocution (dysarthrie) et de la difficulté à
choisir ses mots et à les combiner pour construire des phrases (aphasie).

Les symptômes visuel observé sont la diplopie et, le plus fréquemment rapporté, le scotome scintillant appelé "spectre de fortification"
(lacet lumineux en forme de "G" aux lueurs oscillantes et
frétillante dans le champ visuel) et est causé par un dysfonctionnement des neurones du lobe occipital (centre de la vision).
Ce symptôme visuel hémionopsique paresthésique envahit, d'une façon plus lente qu’une crise d’épilepsie sensitive, jusqu'à la moitié du champ visuel de chaque œil ou
de tout le champ et abouti à une cécité partielle ou globale temporaire d’une duré de 3 à 20 minutes, parfois même une heure, et est aussi suivit d’une aphasie
plus ou moins importante. Ces troubles visuels s’accompagnent souvent de nausées et vomissements.

L'hallucination olfactive (parosmie) consiste en la perception d'une odeur intense qui n'est pas réellement présente (le sujet seul la perçoit).
La diplopie binoculaire transitoire pré-migraineuse provoque pendant quelques secondes et à quelques reprises une vision décalée "image double".

Suite à ces manifestations, c’est alors que survient la douleur intense et pulsative souvent accompagnée de plusieurs des symptômes pré cités et qui persisteront
tout au long de la crise. Tous ces symptômes, bien que transitoires, n'en sont pas moins contraignants pour autant.

La durée des migraines varie de 2 heures à 72 heures en moyenne mais parfois elle peut se prolonger plusieurs jours, voir même des semaines et des mois.
La fréquence des épisodes migraineux est, en général, tout aussi aléatoire qu’imprévisible compte tenu des antécédents familiaux, des traumatismes physiques ou
mentaux et des conditions de vie personnelles de chacun.

N'oublions pas les Migraines Avortées ( Névralgies primaires ) qui surviennent en un éclair sans avertir, et dont la crise ne durent que quelques fractions de secondes
mais dont la violence est égale au "Pic-à-glace" de l'Algie Vasculaire Facial. / Référencé plus bas…



Wikipedia / Algie Vasculaire Faciale (AVF)
Résumé :

L'algie vasculaire de la face (AVF), tout comme la migraine, est une forme aiguë de céphalée.
Il s'agit d'une affection rare, extrêmement douloureuse et invalidante pour celui qui en souffre. Elle se manifeste sur l'une des moitiés de la tête.
Les Américains la surnomment cyniquement "the Boss' Headache" ( le mal de tête du patron ). Plus dramatiquement, on la surnomme « la céphalée suicidaire »,
tant la violence des attaques et leur fréquence rendent infernale la vie des personnes qui en sont atteintes, soit environ 0,2 % de la population.

La médecine estime qu'il s'agit de l'une des douleurs les plus intenses et qu'elle dépasse celle d'une amputation sans anesthésie.
En l'occurrence, Peter Goadsby, professeur de neurologie clinique au Collège de l'université de Londres, un éminent chercheur, a commenté :

« L'algie vasculaire de la face est probablement la pire douleur que l'homme ait jamais connue. Je sais que c'est une remarque forte,
mais si vous demandez à des patients souffrant d'AVF s'ils ont eu une expérience pire, ils disent tous qu'ils n'en ont pas eu. Les femmes souffrant d'AVF
vous diront que l'attaque est encore pire qu'un accouchement. Vous pouvez donc imaginer que ces personnes donnent naissance, sans anesthésie,
une ou deux fois par jour, pendant six, huit ou dix semaines, puis font une pause. C'est tout simplement terrible.
(On comprend alors qu'entre chaque crise, la moindre céphalée ou migraine peut devenir angoissante et faire craindre le pire.)

La première description complète des algies vasculaires de la face a été donnée par le neurologue londonien Wilfred Harris (it) en 1926.
Il nomma la maladie « névralgie migraineuse ».

La comparaison avec d'autres maux de tête est limitée; toutefois les patients qui ont eu des migraines affirment que la douleur ressentie lors d'une AVF
est nettement plus importante (avec une intensité perçue parfois cent fois plus grande). Une analogie est celle d'un pic à glace brûlant que l'on enfoncerait
de manière répétée à travers l'œil et le cerveau, d'une déchirure ou d'un broiement.
(Ma description : Imaginez que quelqu’un vous écrase la tempe de tout son poids avec son talon de soulier tandis qu’un autre tente d'introduire
son pouce dans votre crâne en enfonçant votre œil, puis vient le gros pic à glace brûlant qui pénètre comme une flèche à la vitesse de l'éclair
de par l'arrière de la tête jusqu'à l'œil tout en déchargeant des arcs électrique de manière répétée à travers le cerveau, l'œil, la tempe,
la joue et parfois même les dents.)

BONNE CHANCE !
LES CAUSE
On ignore la véritable cause de la migraine mais certains facteurs semblent la favoriser, dont l'hérédité est l'un des principaux. On constate en effet que la migraine se manifeste souvent chez les membres d'une même famille.
Fait à noter :On a découvert que des dommages causés à la myéline « gaine des axones » serait aujourd’hui réputée pour être en cause dans les douleurs exquises de la migraine.
Certains facteurs psychologiques peuvent aussi la provoquer. Les personnes déprimées sont plus exposées que les autres aux crises de migraine. Parfois, la crise survient à la suite d'une émotion forte ou d'un changement d'habitudes important ou pas. 
La migraine peut aussi être provoquée par des facteurs environnementaux. Les changements d'hormones provoquées par les menstruations, la grossesse, la ménopause ou l'utilisation de contraceptifs oraux tendent aussi à augmenter l'incidence de la migraine. L'hypoglycémie agit parfois comme facteur déclenchant de même que certains médicaments comme les antihistaminiques ou les diurétiques.
La migraine peut aussi être déclenchée par la consommation de certains aliments.
Dans la majorité des cas, c'est la réunion de deux ou trois facteurs qui provoquent la migraine, et ces facteurs peuvent varier d'une personne à l'autre.
La fréquence des épisodes migraineux est, en général, tout aussi aléatoire qu’imprévisible compte tenu des antécédents familiaux, des traumatismes physiques ou mentaux et des conditions de vie personnelles de chacun.LES CAUSE


On ignore la véritable cause de la migraine mais certains facteurs semblent la favoriser, dont l'hérédité est l'un des principaux. On constate en effet que la migraine se manifeste souvent chez les membres d'une même famille.

Fait à noter :
On a découvert que des dommages causés à la myéline « gaine des axones » serait aujourd’hui réputée pour être en cause dans les douleurs exquises de la migraine.

Certains facteurs psychologiques peuvent aussi la provoquer. Les personnes déprimées sont plus exposées que les autres aux crises de migraine. Parfois, la crise survient à la suite d'une émotion forte ou d'un changement d'habitudes important ou pas.
La migraine peut aussi être provoquée par des facteurs environnementaux. Les changements d'hormones provoquées par les menstruations, la grossesse, la ménopause ou l'utilisation de contraceptifs oraux tendent aussi à augmenter l'incidence de la migraine. L'hypoglycémie agit parfois comme facteur déclenchant de même que certains médicaments comme les antihistaminiques ou les diurétiques.
La migraine peut aussi être déclenchée par la consommation de certains aliments.
Dans la majorité des cas, c'est la réunion de deux ou trois facteurs qui provoquent la migraine, et ces facteurs peuvent varier d'une personne à l'autre.

La fréquence des épisodes migraineux est, en général, tout aussi aléatoire qu’imprévisible compte tenu des antécédents familiaux, des traumatismes physiques ou mentaux et des conditions de vie personnelles de chacun.
LES PERSONNES À RISQUESCertains facteurs psychologiques peuvent aussi la provoquer : les personnes anxieuses, stressées, colériques, surmenées, perfectionnistes, hyper-vigilantes, empathiques ou déprimées sont plus exposées que les autres aux crises de migraine.

Voici quelques facteurs d'ordre personnel ou environnemental identifiés comme des déclencheurs de migraine.
Par exemple :
Ceux qui exerce un métier avec beaucoup d'imprévus
Ceux qui sont soumis à des changement de cart de travail fréquent
Ceux qui exerce un métier qui exige un travail physique ou mental soutenu
Ceux qui sont soumis à des changement de pression atmosphérique
Ceux qui sont soumis à des lumières vives, des bruits ou des odeurs fortes
Ceux qui sont souvent dans la circulation automobile et le métro
Ceux qui doivent prendre des médicaments quotidiennement.
LES PERSONNES À RISQUES

Certains facteurs psychologiques peuvent aussi la provoquer : les personnes anxieuses, stressées, colériques, surmenées,
perfectionnistes, hyper-vigilantes, empathiques ou déprimées sont plus exposées que les autres aux crises de migraine.

Voici quelques facteurs d'ordre personnel ou environnemental identifiés comme des déclencheurs de migraine.

Par exemple :

Ceux qui exerce un métier avec beaucoup d'imprévus
Ceux qui sont soumis à des changement de cart de travail fréquent
Ceux qui exerce un métier qui exige un travail physique ou mental soutenu
Ceux qui sont soumis à des changement de pression atmosphérique
Ceux qui sont soumis à des lumières vives, des bruits ou des odeurs fortes
Ceux qui sont souvent dans la circulation automobile et le métro
Ceux qui doivent prendre des médicaments quotidiennement.
LES ÉLÉMENTS DÉCLENCHEURS __ PHYSIOLOGIQUES et ENVIRONNEMENTAUX __
LES ÉLÉMENTS PHYSIOLOGIQUES :
Le stress ( les échéanciers, se faire engueuler, sursauter )
Relaxer après une période de stress ( même une simple sieste )
La faim ( jeûner ou sauter des repas )
La modification des habitudes de sommeil, trop ou pas assez
Faire trop ou pas assez d'exercice
Certains médicaments, dont les antihistaminiques et analgésiques
Les contraceptifs oraux ou l'hormonothérapie substitutive.
LES ÉLÉMENTS ENVIRONNEMENTAUX :
Les lumières intense, fluorescents, flaches, stroboscopes et écrans d'ordinateurs
Les bruits, détonations, feux d'artifices, machineries
Le changement de la pression atmosphérique, les températures extrêmes
La pollution de l'air, les gaz d’échappement de véhicule et de machinerie, le parfum, la fumée du tabac ou d’un feu de bois
Les odeurs fortes et pénétrantes, les produits chimiques, peinture et solvant, savons et détergents. . .
Et si en plus vous faite de l'hyperosmie, vous voilà dans la catégorie des H.S.E.( Hyper-Sensible à l'Environnement )
Le SBS (Sick Building Syndrome) ou SBM (syndrome des bâtiments malsains)
Le MCS (Multiple Chemical Sensitivity) ou SCM (Sensibilité Chimique Multiple)
Plus sévère, le Syndrome HSCM (Hyper-Sensibilité Chimique Multiple) fréquent chez les migraineux.LES ÉLÉMENTS DÉCLENCHEURS __ PHYSIOLOGIQUES et ENVIRONNEMENTAUX __


LES ÉLÉMENTS PHYSIOLOGIQUES :

Le stress ( les échéanciers, se faire engueuler, sursauter )
Relaxer après une période de stress ( même une simple sieste )
La faim ( jeûner ou sauter des repas )
La modification des habitudes de sommeil, trop ou pas assez
Faire trop ou pas assez d'exercice
Certains médicaments, dont les antihistaminiques et analgésiques
Les contraceptifs oraux ou l'hormonothérapie substitutive.


LES ÉLÉMENTS ENVIRONNEMENTAUX :

Les lumières intense, fluorescents, flaches, stroboscopes et écrans d'ordinateurs
Les bruits, détonations, feux d'artifices, machineries
Le changement de la pression atmosphérique, les températures extrêmes
La pollution de l'air, les gaz d’échappement de véhicule et de machinerie, le parfum, la fumée du tabac ou d’un feu de bois
Les odeurs fortes et pénétrantes, les produits chimiques, peinture et solvant, savons et détergents. . .
Et si en plus vous faite de l'hyperosmie, vous voilà dans la catégorie des H.S.E.( Hyper-Sensible à l'Environnement )

Le SBS (Sick Building Syndrome) ou SBM (syndrome des bâtiments malsains)
Le MCS (Multiple Chemical Sensitivity) ou SCM (Sensibilité Chimique Multiple)
Plus sévère, le Syndrome HSCM (Hyper-Sensibilité Chimique Multiple) fréquent chez les migraineux.
LES ALIMENTS DÉCLENCHEURSL'alimentation semble jouer un rôle important dans le déclenchement des migraines. Environ 15 % à 20 % des gens qui souffrent de migraine indiquent que certains aliments sont à la source de leurs attaques.Certains aliments sont plus susceptibles que d'autres de provoquer la migraine à cause des substances ou des additifs qu'ils contiennent.Même si on peut en dresser une liste à peu près complète, il serait excessif de tous les éliminer de son régime alimentaire. Il est fort possible que seuls quelques-uns d'entre eux agissent comme élément déclencheur. C'est pourquoi il vaut mieux tenter de déterminer ceux auxquels on est le plus sensible en les évitant à tour de rôle pendant quelques jours.Les aliments les plus souvent cités sont :
Les boissons et aliments alcoolisées
Les fromages affinés (vieillis)
Le chocolat noir
Le café et le thé
Le yogourt
Les oignons et l’ail
Les aliments fermentés, marinés ou fumé (charcuteries)
Les substances en causes :
La Caféine (ou parfois même le manque de caféine)
La Tyramine
Les Nitrites
Le Glutamate Monosodique
L’Aspartame
La Phénylalanine
Le Phénylethylamine- - - PRÉCISIONS - - -
CAFÉINE
La seule consommation de deux ou trois tasses de café par jour est parfois suffisante pour provoquer une migraine chez certaines personnes. Lorsque la caféine est en cause, la migraine se manifeste plusieurs heures après que l'on a consommé une dernière dose de café (entre 8 et l8 heures) et est soulagée par une nouvelle dose. C'est pourquoi certaines personnes remarquent qu'une tasse de café fort prise au tout début de la migraine peut en stopper les symptômes. Il s'agit en fait d'un cercle vicieux. Plus on consomme de café, plus l'organisme réagit lorsqu'il en est privé. On recommande aux personnes sensibles à la caféine de limiter leur consommation à une tasse de café par jour ou mieux, de l'éliminer complètement. Pour éviter les inconvénients du sevrage, il vaut mieux couper graduellement sa consommation de caféine tout en tenant compte des autres produits qui en contiennent, comme le thé, le chocolat et certaines boissons gazeuses. Certains médicaments contre les maux de tête contiennent aussi de la caféine. Il est donc important, si la caféine est l'élément déclencheur, de bien lire l'étiquette des produits que l'on consomme.
TYRAMINE
La tyramine est naturellement présente dans plusieurs aliments riches en protéines. Elle apparaît aussi au cours de la fermentation, du vieillissement ou du marinage de certains aliments. En général, cette substance est neutralisée par l'organisme, mais chez certaines personnes elle ne l'est pas et peut provoquer des effets secondaires comme la migraine. Les maux de tête causés par la tyramine surgissent parfois immédiatement après l'ingestion d'un aliment, mais ils peuvent aussi se manifester jusqu'à 12 heures après. Les principaux aliments qui en contiennent sont le vin rouge, les fromages vieillis, la crème aigre, les saucissons secs, les poissons marinés ou salés, la sauce soya et la levure.
NITRITES
Les nitrites sont les sels de l’acide nitreux. La présence de nitrites dans le sang empêche l’hémoglobine de fixer convenablement l’oxygène. C'est la raison pour laquelle la teneur en nitrites dans l’eau potable est réglementée et, indirectement celle des nitrates en raison de leur capacité à se transformer en nitrites. On utilise les nitrites depuis des siècles pour la conservation des viandes. Non seulement les nitrites ont-ils un effet antibactérien, mais ils assurent aussi la couleur et la saveur des aliments auxquels ils sont ajoutés. Les migraines provoquées par les nitrites sont caractérisées par une douleur sourde souvent accompagnée par une rougeur du visage. La plupart des viandes préparées ou fumées en contiennent, comme le bacon, les saucisses, le saucisson de Bologne, le jambon, les viandes et poissons fumés.
GLUTAMATE MONOSODIQUE
Le glutamate de monosodium a la propriété de rehausser la saveur des aliments. En général, il ne provoque pas de réactions mais les personnes qui y sont sensibles en ressentent les symptômes 15 ou 20 minutes après en avoir consommé. La migraine alors provoquée est accompagnée d'une sensation de picotement dans le visage, de brûlure au niveau du torse et une sensation de déshydratation. Le glutamate de monosodium est couramment utilisé dans la cuisine chinoise, mais on le trouve aussi dans un grand nombre d'aliments préparés, comme les soupes ou les viandes en conserve, les mets congelés, les sauces préparées et les mélanges d'assaisonnements et même dans certain beurre d’arachides.
PHENYLETHYLAMINE
La phenylethylamine est un acide aminé aromatique dont est issue, notamment, la tyrosine et l’aspartame. On les retrouve dans les aliments ayant subi une fermentation, comme le fromage, le vin et le chocolat par exemple. Ce sont des liquides incolores qui forment un sel avec le dioxyde de carbone (CO2) au contact de l'air. Les phényléthylamines d'origine alimentaire sont des alcaloïdes monoaminés et pourraient avoir des effets psychoactifs. Dans le cerveau, ils jouent le rôle de neurotransmetteurs comme la sérotonine.
PHENYLALANINE
La phénylalanine est, avec l’aspartate, l'un des deux constituants de l’aspartame, un dipeptide utilisé comme édulcorant dans les boissons et les aliments dits « léger et diète » (notamment les boissons gazeuses et friandises) pour son pouvoir sucrant 200 fois supérieur à celui du saccharose et sa faible valeur énergétique.
ASPARTAME
Largement  utilisé comme succédané du sucre, l'aspartame est souvent mentionné comme un des facteurs déclencheurs de migraine. Habituellement, la migraine se manifeste immédiatement après avoir consommé des aliments, des boissons, de la gomme à mâcher ou des friandises contenant de l'aspartame.
ALCOOL
L'abus n'est pas toujours le principal responsable des maux de tête dus à l'alcool. Certaines personnes auront une migraine même après en avoir consommé une petite quantité. Certaines boissons alcooliques contiennent en effet plusieurs substances susceptibles de provoquer la migraine. Certaines sont naturellement produites au cours des processus de fermentation, de distillation ou de vieillissement de l'alcool, comme la tyramine, d'autres sont ajoutées pour aider à leur conservation, comme les sulfites. Plus une boisson alcoolique contient de ces substances, plus elle est susceptible de provoquer des maux de tête. C'est le cas du vin rouge, du champagne et des alcools foncés, comme le scotch ou le cognac.
AUTRES ALIMENTS DÉCLENCHEURS
Certains fruits et certains légumes peuvent aussi causer des migraines chez certaines personnes. Les plus connus sont les agrumes et leur jus (orange, citron, pamplemousse et lime), les ananas, les bananes, les figues, les raisins, les prunes, de même que certaines légumineuses (fèves de Lima, lentilles, fèves de soya), la choucroute, l’ail et l'oignon.
LES ALIMENTS DÉCLENCHEURS

L'alimentation semble jouer un rôle important dans le déclenchement des migraines. Environ 15 % à 20 % des gens qui souffrent de migraine indiquent que certains aliments sont à la source de leurs attaques.

Certains aliments sont plus susceptibles que d'autres de provoquer la migraine à cause des substances ou des additifs qu'ils contiennent.
Même si on peut en dresser une liste à peu près complète, il serait excessif de tous les éliminer de son régime alimentaire. Il est fort possible que seuls quelques-uns d'entre eux agissent comme élément déclencheur. C'est pourquoi il vaut mieux tenter de déterminer ceux auxquels on est le plus sensible en les évitant à tour de rôle pendant quelques jours.

Les aliments les plus souvent cités sont :

Les boissons et aliments alcoolisées
Les fromages affinés (vieillis)
Le chocolat noir
Le café et le thé
Le yogourt
Les oignons et l’ail
Les aliments fermentés, marinés ou fumé (charcuteries)

Les substances en causes :
La Caféine (ou parfois même le manque de caféine)
La Tyramine
Les Nitrites
Le Glutamate Monosodique
L’Aspartame

La Phénylalanine
Le Phénylethylamine

- - - PRÉCISIONS - - -

CAFÉINE

La seule consommation de deux ou trois tasses de café par jour est parfois suffisante pour provoquer une migraine chez certaines personnes. Lorsque la caféine est en cause, la migraine se manifeste plusieurs heures après que l'on a consommé une dernière dose de café (entre 8 et l8 heures) et est soulagée par une nouvelle dose. C'est pourquoi certaines personnes remarquent qu'une tasse de café fort prise au tout début de la migraine peut en stopper les symptômes. Il s'agit en fait d'un cercle vicieux. Plus on consomme de café, plus l'organisme réagit lorsqu'il en est privé. On recommande aux personnes sensibles à la caféine de limiter leur consommation à une tasse de café par jour ou mieux, de l'éliminer complètement. Pour éviter les inconvénients du sevrage, il vaut mieux couper graduellement sa consommation de caféine tout en tenant compte des autres produits qui en contiennent, comme le thé, le chocolat et certaines boissons gazeuses. Certains médicaments contre les maux de tête contiennent aussi de la caféine. Il est donc important, si la caféine est l'élément déclencheur, de bien lire l'étiquette des produits que l'on consomme.


TYRAMINE

La tyramine est naturellement présente dans plusieurs aliments riches en protéines. Elle apparaît aussi au cours de la fermentation, du vieillissement ou du marinage de certains aliments. En général, cette substance est neutralisée par l'organisme, mais chez certaines personnes elle ne l'est pas et peut provoquer des effets secondaires comme la migraine. Les maux de tête causés par la tyramine surgissent parfois immédiatement après l'ingestion d'un aliment, mais ils peuvent aussi se manifester jusqu'à 12 heures après. Les principaux aliments qui en contiennent sont le vin rouge, les fromages vieillis, la crème aigre, les saucissons secs, les poissons marinés ou salés, la sauce soya et la levure.

NITRITES

Les nitrites sont les sels de l’acide nitreux. La présence de nitrites dans le sang empêche l’hémoglobine de fixer convenablement l’oxygène. C'est la raison pour laquelle la teneur en nitrites dans l’eau potable est réglementée et, indirectement celle des nitrates en raison de leur capacité à se transformer en nitrites. On utilise les nitrites depuis des siècles pour la conservation des viandes. Non seulement les nitrites ont-ils un effet antibactérien, mais ils assurent aussi la couleur et la saveur des aliments auxquels ils sont ajoutés. Les migraines provoquées par les nitrites sont caractérisées par une douleur sourde souvent accompagnée par une rougeur du visage. La plupart des viandes préparées ou fumées en contiennent, comme le bacon, les saucisses, le saucisson de Bologne, le jambon, les viandes et poissons fumés.

GLUTAMATE MONOSODIQUE

Le glutamate de monosodium a la propriété de rehausser la saveur des aliments. En général, il ne provoque pas de réactions mais les personnes qui y sont sensibles en ressentent les symptômes 15 ou 20 minutes après en avoir consommé. La migraine alors provoquée est accompagnée d'une sensation de picotement dans le visage, de brûlure au niveau du torse et une sensation de déshydratation. Le glutamate de monosodium est couramment utilisé dans la cuisine chinoise, mais on le trouve aussi dans un grand nombre d'aliments préparés, comme les soupes ou les viandes en conserve, les mets congelés, les sauces préparées et les mélanges d'assaisonnements et même dans certain beurre d’arachides.

PHENYLETHYLAMINE

La phenylethylamine est un acide aminé aromatique dont est issue, notamment, la tyrosine et l’aspartame. On les retrouve dans les aliments ayant subi une fermentation, comme le fromage, le vin et le chocolat par exemple. Ce sont des liquides incolores qui forment un sel avec le dioxyde de carbone (CO2) au contact de l'air. Les phényléthylamines d'origine alimentaire sont des alcaloïdes monoaminés et pourraient avoir des effets psychoactifs. Dans le cerveau, ils jouent le rôle de neurotransmetteurs comme la sérotonine.

PHENYLALANINE

La phénylalanine est, avec l’aspartate, l'un des deux constituants de l’aspartame, un dipeptide utilisé comme édulcorant dans les boissons et les aliments dits « léger et diète » (notamment les boissons gazeuses et friandises) pour son pouvoir sucrant 200 fois supérieur à celui du saccharose et sa faible valeur énergétique.

ASPARTAME

Largement utilisé comme succédané du sucre, l'aspartame est souvent mentionné comme un des facteurs déclencheurs de migraine. Habituellement, la migraine se manifeste immédiatement après avoir consommé des aliments, des boissons, de la gomme à mâcher ou des friandises contenant de l'aspartame.

ALCOOL

L'abus n'est pas toujours le principal responsable des maux de tête dus à l'alcool. Certaines personnes auront une migraine même après en avoir consommé une petite quantité. Certaines boissons alcooliques contiennent en effet plusieurs substances susceptibles de provoquer la migraine. Certaines sont naturellement produites au cours des processus de fermentation, de distillation ou de vieillissement de l'alcool, comme la tyramine, d'autres sont ajoutées pour aider à leur conservation, comme les sulfites. Plus une boisson alcoolique contient de ces substances, plus elle est susceptible de provoquer des maux de tête. C'est le cas du vin rouge, du champagne et des alcools foncés, comme le scotch ou le cognac.

AUTRES ALIMENTS DÉCLENCHEURS

Certains fruits et certains légumes peuvent aussi causer des migraines chez certaines personnes. Les plus connus sont les agrumes et leur jus (orange, citron, pamplemousse et lime), les ananas, les bananes, les figues, les raisins, les prunes, de même que certaines légumineuses (fèves de Lima, lentilles, fèves de soya), la choucroute, l’ail et l'oignon.
LES POSSIBLES SOLUTIONS
La compréhension et la prise en charge des maux qui nous affligent, de tout les tenants et aboutissants des symptômes, peu parfois aider à mieux les contrôler ou du moins en diminuer la fréquence et l'intensité.
Bien que la migraine soit reconnue comme maladie par l’ensemble du corps médical,  une grande partie des malades se soignent encore avec des médicaments en vente libre ou des remèdes traditionnels. De nombreux migraineux, affirme l’OMS, ignorent même qu’ils le sont et qu’ils relèvent d’un traitement médical, simplement parce que le diagnostic n’a jamais été posé.
Depuis plusieurs années il y a sur le marcher de nouveaux médicaments, les triptans (médicaments délivrés sur prescription médicale et agissant en deux heures maximum) qui ont permis de soulager nombre de gens.
On distingue aujourd’hui cinq familles issues de cette molécule (sumatriptan, zolmitriptan, naratriptan, élétriptan, almotriptan) auxquelles chaque patient répond de manière différente. Il faut donc parfois en tester plusieurs pour trouver la spécialité adaptée à chacun. Les triptans sont ce que l’on appelle des agonistes de la sérotonine, une substance chimique qui joue le rôle de médiateur entre les cellules nerveuses. En se fixant sur certaines catégories de récepteurs de la sérotonine, les triptans entraînent un rétrécissement des vaisseaux présents dans les méninges et empêchent ainsi la libération de substances « algogènes », qui provoquent la douleur. Comme tout médicament, les triptans sont accompagnés de contre indications et d’éventuels effets secondaires qu’il ne faut pas négliger, mais leur efficacité restent néanmoins, à ce jour, inégalée.
BONNE CHANCE !LES POSSIBLES SOLUTIONS


La compréhension et la prise en charge des maux qui nous affligent, de tout les tenants et aboutissants des symptômes, peu parfois aider à mieux les contrôler ou du moins en diminuer la fréquence et l'intensité.

Bien que la migraine soit reconnue comme maladie par l’ensemble du corps médical, une grande partie des malades se soignent encore avec des médicaments en vente libre ou des remèdes traditionnels. De nombreux migraineux, affirme l’OMS, ignorent même qu’ils le sont et qu’ils relèvent d’un traitement médical, simplement parce que le diagnostic n’a jamais été posé.
Depuis plusieurs années il y a sur le marcher de nouveaux médicaments, les triptans (médicaments délivrés sur prescription médicale et agissant en deux heures maximum) qui ont permis de soulager nombre de gens.
On distingue aujourd’hui cinq familles issues de cette molécule (sumatriptan, zolmitriptan, naratriptan, élétriptan, almotriptan) auxquelles chaque patient répond de manière différente. Il faut donc parfois en tester plusieurs pour trouver la spécialité adaptée à chacun. Les triptans sont ce que l’on appelle des agonistes de la sérotonine, une substance chimique qui joue le rôle de médiateur entre les cellules nerveuses. En se fixant sur certaines catégories de récepteurs de la sérotonine, les triptans entraînent un rétrécissement des vaisseaux présents dans les méninges et empêchent ainsi la libération de substances « algogènes », qui provoquent la douleur. Comme tout médicament, les triptans sont accompagnés de contre indications et d’éventuels effets secondaires qu’il ne faut pas négliger, mais leur efficacité restent néanmoins, à ce jour, inégalée.

BONNE CHANCE !

MIGRAINE EN IMAGE / Migraine Art
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