Le cirque de Gavarnie est sans doute le point le plus connu des Pyrénées. Une ligne d'autobus permet depuis la gare de Lourdes de se rendre au départ des sentiers. Côté français le terrain est très aménagé mais quand on bascule du côté Espagnol c'est beaucoup plus sauvage.
Les excursions à dos de bourricot c'est la grande attraction vintage.
Arrivés en milieu de matinée, visiter le cirque puis ensuite grimper au refuge des Espuguettes est une petite étape mais c'est une très bonne mise en jambes.
Au fond du cirque de Gavarnie une cascade de 400 mètres de haut.
Hôtel du cirque construit bien avant l'apparition des congés payés.
À partir de l'Hotel du Cirque un sentier mène au refuge des Espuguettes.
Le bref plaisir de manger gastronomique matin midi et soir s'est effacé devant celui de marcher toute la journée chargés le moins possible nous avons donc fait le choix de réduire l'alimentation à sa plus simple expression: compacte et énergétique. Le seul luxe: le thé.
En montant vers la Hourquette d'Alans: les ânes utilisés à monter la nourriture au refuge.
Pause à la Hourquette d'alans on voit le fond du cirque d'Éstaubé. Après cinq minutes de descente on embarque sur une trace qui coupe par l'aplat d'éboulis (au second plan sur la photo) nous faisant pénétrer dans le monde du hors sentier où il faut se garder suffisament de lucidité pour rester sur le bon itinéraire, le balisage étant désormais absent ou presque.
La montée vers la brèche de Tuquerouille est très inclinée et constituée de rocaille. Jusqu'au milieu de juillet ce passage peut-être bloqué par un névé (restant de neige hivernale). Cette montée est considérée comme le point le plus difficile du tour.
Souvent on préfèrera monter plutôt que descendre.