Les choses sérieuses commencent.
Le hublot est vissé et les poids en plomb sont ajoutés sur le devant et le dos de sa combinaison.
Un autre plongeur visse les boulons du scaphandre.
Pas rassuré, le plongeur esquisse encore un timide sourire.
Le plongeur a de la peine à se tenir droit, les 80 kilos du scaphandre l'écrase.
Il a perdu son sourire et souffre des épaules.
Afin d'amener l'air dans le scaphandre, il ne faut pas arrêter de tourner la pompe" Piel."
L'air passe par le tuyau noir qui se trouve sur le devant de la pompe.
Le casque et l'équipement sont russes.
Le scanphandrier à 25 kilos à chaque pied.
La corde rouge sert à suivre le scaphandrier tout au long de sa plongée.
C'est à petits pas qu'il s'avance dans le lac afin de s'immerger.
Il faut bien regarder à ce que le tuyau d'air ne se plie pas lors de la plongée.
Il ne faudra que quelques secondes au scaphandrier gonflé d'air pour qu'il coule grâce aux poids qu'il a sur lui.
Afin que la plongée se passe sans risque, un plongeur l'accompagnera.
Le plongeur vérifie par le hublot que notre scaphandrier va bien, qu'il peut respirer et ne panique pas.
Rassuré, il va le laisser partir.
Maintenant on le suit grâce à la corde rouge et aux bulles.
Epuisé après 15 mintutes de plongée, le scanphandrier doit être aidé pour sortir de l'eau.
Sortir de l'eau est un peu laborieux et moins élégant que la rentrée :-)
Vite, il faut débarrasser le plongeur de son scaphandre.
Le héros pose pour la photo souvenir.